Traitement de la fumure organique

Au Mali en Pays Dogon l’utilisation de la fumure organique est fondamentale pour l’agriculture. Elle est résultat de la décomposition des résidus agricoles (tiges de mil, riz, maïs, fonio, sésame etc.)et aussi du compostage. Après les récoltes, ces résidus sont généralement laissés au piétinement des animaux pendant un temps bien déterminés d’être évacuer au champ. La matière organique demeure cependant le meilleur régulateur de la fertilité des sols.la restitution des résidus de récolte, bien menée, contribue non seulement à favoriser le maintien de la fertilité sur le plan agronomique, mais encore à l’abandon d’engrais aux cultures et permet de réduire les dépenses des agriculteurs.

Cependant, beaucoup d’agriculteurs ne contrôlent leur fumier organique avant de les transportés dans les champs. Or, un traitement préalable est nécessaire pour trier des objets inutile et nuisibles aux sols (tels que : les plastiques, le fer où objets non biodégradables).

Traitement de la fumure organique

Au Mali en Pays Dogon l’utilisation de la fumure organique est fondamentale pour l’agriculture. Elle est résultat de la décomposition des résidus agricoles (tiges de mil, riz, maïs, fonio, sésame etc.)et aussi du compostage. Après les récoltes, ces résidus sont généralement laissés au piétinement des animaux pendant un temps bien déterminés d’être évacuer au champ. La matière organique demeure cependant le meilleur régulateur de la fertilité des sols.la restitution des résidus de récolte, bien menée, contribue non seulement à favoriser le maintien de la fertilité sur le plan agronomique, mais encore à l’abandon d’engrais aux cultures et permet de réduire les dépenses des agriculteurs.

Cependant, beaucoup d’agriculteurs ne contrôlent leur fumier organique avant de les transportés dans les champs. Or, un traitement préalable est nécessaire pour trier des objets inutile et nuisibles aux sols (tels que : les plastiques, le fer où objets non biodégradables).

Stratégie d’adaptation traditionnelle de l’agriculture de subsistance contre le changement climatique

Au plateau Dogon, les terres sont insuffisantes et les sols très pauvres et peu structurés. C’est ce qui explique les très faibles productivités des sols. La pratique DRS/CES est le seul moyen pour améliorer la production agricole. Les braves populations font de leur mieux avec les quelques notions qu’elles disposent depuis les temps. Ces techniques passent généralement par les méthodes culturales et aussi l’apport en fumier organique. Elles permettent la rétention des eaux dans le sols et aussi luttent efficacement contre le ruissellement des champs cultivés.